11 avril 2011
Ostende.
Retour amer sur notre histoire, plus je m’avance et plus mon horizon se vide, notre mer étale où nous marchions sur les vagues n’est plus qu’une image désuète du passé, elle déverse inexorablement ses wagons successifs de fiel et de rage sur notre faillite.
Mon pauvre amour, que sommes-nous devenus ?J’aimerais tant ne plus aimer, ne plus penser et disparaitre…. Happé par la mer bergère !
V-s Soufflé par Ferré inspiré par Michel debray.
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