14 mai 2011
Philippe Pasqua.
Pasqua, c’est la monomanie du corps, de la chair généreuse et jouissive que l’on voudrait toucher du doigt. Des portraits monumentaux qui captent le regard par leur violence, une peinture qui nous dérange et nous bouscule, un travail phénoménal sur les carnations qui nous renvoie au Maître absolu de la discipline » Lucian Freud »
v-s
Publicité
Commentaires